Ceci est un message de la Ligue Radicale du Bonheur Obligatoire. (merci aux réalisatrices ceci dit, je réutilise enfin ce chef-d'oeuvre).
Spéciale dédicace à la chef de file officielle du mouvement des Niais assemblés.
Dans certains pays éloignés, on manifeste sa joie de vivre en prenant un bain de kérosène puis en allant fumer une cigarette. Je vous promet, c'est une expérience in-croy-able.
lost
I'm lost but I'm not stranded yet
Samedi 22 août 2009 à 20:04
Lundi 17 août 2009 à 7:51
Me voici revenu, malheureusement pour vous, ô lectorat inexistant bien qu'adoré. J'aurais voulu qu'il en soit autrement, mais l'apocalypse atomique n'a pas eu lieu; tant pis pour nous, il faudra supporter cette pitoyable mascarade qu'est l'espèce humaine encore longtemps en attendant qu'un connard quelconque (mais bien inspiré) écrase ce foutu bouton rouge un jour.
Mais là n'est bien entendu pas la question.
La question serait plutôt de savoir pourquoi on peut en arriver à désirer voir l'avènement d'un hiver nucléaire alors qu'il fait 30°c à l'ombre, ce qui implique des possibilités sans limites pour un nombre incroyable de trous-du-cul de se faire bronzer dans des situations malséantes, inesthétiques et si possible désagréables pour leurs voisins? Justement, là est le problème. L'été encore plus que le printemps, les cons sont de sortie, envahissant tels des rats les trottoirs des villages les plus dépeuplés, se répandant telle une nauséabonde marée noire dans les parcs et sur plages, bref on ne voit pour ainsi dire plus qu'eux.
Impossible de sortir sans croiser un de ces douchebags post-modernes affublé de lunettes ejac-faciale-proof© et vêtu de fringues dont la blancheur virginale n'a d'égale que l'incroyable propension que possède la compagne de celui-ci à de faire péter le cul par le premier macaque consanguin venu ressemblant un tant soi-peu au modèle précité (l'origine du phénomène venant du manque de discernement de ladite femelle incapable qu'elle est de reconnaitre un déchet d'un autre, d'autant qu'elle passe sa vie bourrée à la vodka-red bull, forcément).
Impossible d'échapper aux vomissures publicitaires relookées pour la saison chaude qui nous noient sous des poncifs débilitants à propos de bonheur, de positivisme et de dynamisme à la mord-moi-le-noeud. Sous prétexte que le soleil semble heureux (Puisqu'il brille beaucoup, ça il n'y a pas à dire, ce gros enculé. C'est pourtant ridicule puisque qu'il se contente d'être tandis que ce sont les nuages qu'il faudrait encenser, tout partis qu'ils sont à submerger les pays en développements et si possible faire crever un peu plus les sous-hommes racialement inférieurs qui y habitent. Pensez-y, ô publicistes blancs, ça fera joli à côté des affiches non déchiquetées de la liste Antisioniste), il faudrait que tout le monde le soit. Mais heureux, voyons, suivez un peu.
Impossible également d'échapper aux habituelles, sempiternelles et répétitives questions qui n'ont d'autres buts que d'introduire la conversation de celui qui les pose à propos de son Merveilleux Programme des Vacances. A savoir : "tu fais quoi pendant les vacances?", question souvent accompagnée du célèbre "tu vas où?". Franchement à ce compte là, autant ne pas poser la question et faire des fiches pour tout le monde en inscrivant où vous partez, combien de temps et avec qui. Au moins, pas besoin d'écouter les réponses des gens, vous vous en foutez. Non? Oh, non, bien entendu, si le Programme est meilleur, on peut jalouser la personne en question et trouver des dizaines de prétextes foireux pour la détester en restant honnête avec soi-même. Le bonheur à l'état pur. Bande de sales langues de putes.
Ajoutons à ceci qu'en été les rues sont puantes, remplies de touristes décérébrés, bruyants, malpolis, sales et laids. Que les vendeurs ambulants qui se font leur beurre sur leur dos sont à peine moins décérébrés, malpolis, sales et laids (oui j'ai volontairement retiré bruyants, rien de plus bruyant qu'un connard de clampin vendant des lunettes à la sauvette) et nous avons un merveilleux cocktail taillé pour nous faire détester la vie jusqu'à la fin de nos jours.
Bref, comme d'habitude j'ai la flemme de développer plus, notamment parce qu'aucun de vous n'en vaut la peine et que ça devrait vous suffire, avec le volume d'informations qu'il y a à digérer, vous en avez pour la semaine. Je conclus donc. Face à toutes ces abominations la vision de l'hiver me remplit de joie et j'avoue qu'en fait, atomique ou pas, je voudrais juste qu'il s'abatte sur ces rescapés de la noyade à la naissance qui exhibent leurs jambes épilées et bronzées sur la place publique. J'imagine que ça leur ferait les pieds de se payer une bonne hypothermie.
Sur ce, je vais me coucher. Je salue tous ceux qui à cette heure-ci vont travailler. Vous au moins vous ne me faites pas chier.
Mais je me marre bien en pensant à vous.
Mais là n'est bien entendu pas la question.
La question serait plutôt de savoir pourquoi on peut en arriver à désirer voir l'avènement d'un hiver nucléaire alors qu'il fait 30°c à l'ombre, ce qui implique des possibilités sans limites pour un nombre incroyable de trous-du-cul de se faire bronzer dans des situations malséantes, inesthétiques et si possible désagréables pour leurs voisins? Justement, là est le problème. L'été encore plus que le printemps, les cons sont de sortie, envahissant tels des rats les trottoirs des villages les plus dépeuplés, se répandant telle une nauséabonde marée noire dans les parcs et sur plages, bref on ne voit pour ainsi dire plus qu'eux.
Impossible de sortir sans croiser un de ces douchebags post-modernes affublé de lunettes ejac-faciale-proof© et vêtu de fringues dont la blancheur virginale n'a d'égale que l'incroyable propension que possède la compagne de celui-ci à de faire péter le cul par le premier macaque consanguin venu ressemblant un tant soi-peu au modèle précité (l'origine du phénomène venant du manque de discernement de ladite femelle incapable qu'elle est de reconnaitre un déchet d'un autre, d'autant qu'elle passe sa vie bourrée à la vodka-red bull, forcément).
Impossible d'échapper aux vomissures publicitaires relookées pour la saison chaude qui nous noient sous des poncifs débilitants à propos de bonheur, de positivisme et de dynamisme à la mord-moi-le-noeud. Sous prétexte que le soleil semble heureux (Puisqu'il brille beaucoup, ça il n'y a pas à dire, ce gros enculé. C'est pourtant ridicule puisque qu'il se contente d'être tandis que ce sont les nuages qu'il faudrait encenser, tout partis qu'ils sont à submerger les pays en développements et si possible faire crever un peu plus les sous-hommes racialement inférieurs qui y habitent. Pensez-y, ô publicistes blancs, ça fera joli à côté des affiches non déchiquetées de la liste Antisioniste), il faudrait que tout le monde le soit. Mais heureux, voyons, suivez un peu.
Impossible également d'échapper aux habituelles, sempiternelles et répétitives questions qui n'ont d'autres buts que d'introduire la conversation de celui qui les pose à propos de son Merveilleux Programme des Vacances. A savoir : "tu fais quoi pendant les vacances?", question souvent accompagnée du célèbre "tu vas où?". Franchement à ce compte là, autant ne pas poser la question et faire des fiches pour tout le monde en inscrivant où vous partez, combien de temps et avec qui. Au moins, pas besoin d'écouter les réponses des gens, vous vous en foutez. Non? Oh, non, bien entendu, si le Programme est meilleur, on peut jalouser la personne en question et trouver des dizaines de prétextes foireux pour la détester en restant honnête avec soi-même. Le bonheur à l'état pur. Bande de sales langues de putes.
Ajoutons à ceci qu'en été les rues sont puantes, remplies de touristes décérébrés, bruyants, malpolis, sales et laids. Que les vendeurs ambulants qui se font leur beurre sur leur dos sont à peine moins décérébrés, malpolis, sales et laids (oui j'ai volontairement retiré bruyants, rien de plus bruyant qu'un connard de clampin vendant des lunettes à la sauvette) et nous avons un merveilleux cocktail taillé pour nous faire détester la vie jusqu'à la fin de nos jours.
Bref, comme d'habitude j'ai la flemme de développer plus, notamment parce qu'aucun de vous n'en vaut la peine et que ça devrait vous suffire, avec le volume d'informations qu'il y a à digérer, vous en avez pour la semaine. Je conclus donc. Face à toutes ces abominations la vision de l'hiver me remplit de joie et j'avoue qu'en fait, atomique ou pas, je voudrais juste qu'il s'abatte sur ces rescapés de la noyade à la naissance qui exhibent leurs jambes épilées et bronzées sur la place publique. J'imagine que ça leur ferait les pieds de se payer une bonne hypothermie.
Sur ce, je vais me coucher. Je salue tous ceux qui à cette heure-ci vont travailler. Vous au moins vous ne me faites pas chier.
Mais je me marre bien en pensant à vous.
Lundi 13 juillet 2009 à 0:47
Je pars en vacances. N'oubliez pas.
Samedi 6 juin 2009 à 19:10
Avez vous remarqué que sur un blog, lorsqu'une personne se fait attaquer dans les commentaires, une riposte apparait de façon très rapide de la part d'amis ou de connaissances du bloggeur concerné. Je trouve ce phénomène fascinant.
C'est une manifestation primaire de l'instinct de groupe, celui-là même qui fait que des groupes d'animaux stupides et herbivores tentent de faire fuir un prédateur venant attaquer l'un d'entre eux. Bien évidemment en général ça n'arrive pas d'ailleurs, on préfère laisser un sacrifié plutôt de que risquer sa peau.
Sauf sur internet, le taux de gens qui passeraient leur chemin diminue de façon drastique et tout le monde y va de sa petite défense pugnace, même les moins bien armés (comprendre: les cons). C'est particulièrement drôle dans le cas où les défenseurs n'ont au final que très peu de choses à voir avec le défendu et qu'on à l'impression d'assister à une bataille théologique, tant on évoque de façon vague et éloignée le bloggeur attaqué qui semble alors être une sorte d'entité impalpable et inaccessible incapable de se défendre seul car quasi-conceptuel.
Au final, il faut bien le dire, si on ne peut se défendre seul dans la jungle qu'est internet, c'est qu'on a fait les frais de ce qu'on appelle la sélection naturelle, alors pourquoi s'acharner?
C'est une manifestation primaire de l'instinct de groupe, celui-là même qui fait que des groupes d'animaux stupides et herbivores tentent de faire fuir un prédateur venant attaquer l'un d'entre eux. Bien évidemment en général ça n'arrive pas d'ailleurs, on préfère laisser un sacrifié plutôt de que risquer sa peau.
Sauf sur internet, le taux de gens qui passeraient leur chemin diminue de façon drastique et tout le monde y va de sa petite défense pugnace, même les moins bien armés (comprendre: les cons). C'est particulièrement drôle dans le cas où les défenseurs n'ont au final que très peu de choses à voir avec le défendu et qu'on à l'impression d'assister à une bataille théologique, tant on évoque de façon vague et éloignée le bloggeur attaqué qui semble alors être une sorte d'entité impalpable et inaccessible incapable de se défendre seul car quasi-conceptuel.
Au final, il faut bien le dire, si on ne peut se défendre seul dans la jungle qu'est internet, c'est qu'on a fait les frais de ce qu'on appelle la sélection naturelle, alors pourquoi s'acharner?
Non, vraiment, laissez crever les gens sur leurs blogs comme vous les laissez se faire agresser dans la rue et pourrir sur un bout de trottoir. Vous serez plus honnêtes avec vous-même et avec le monde.