lost

I'm lost but I'm not stranded yet

Dimanche 4 avril 2010 à 6:13

C'est vrai, on ne le dit jamais assez. Tout d'abord parce qu'il faut être con pour  utiliser cette plateforme alors qu'il y en a tellement de mieux et plus pratiques, plus actives et moins chères qui existent. Mais passons.

En parlant de prix justement, si vous êtes inscrits ici, vous n'êtes pas sans savoir que le site propose une offre payante afin de fournir des services plus avancés aux souscripteurs.

Cette offre porte le doux nom de Premium.

Jusqu'ici, tout va bien.

Maintenant j'aimerais comprendre -et là je fais appel à vous, masses silencieuses mais néanmoins pensantes (encore que...)-, j'aimerais VRAIMENT comprendre...
 


Pourquoi faut-il systématiquement qu'une partie des connards analphabètes qui postent sur ce site nomme cette offre preNium?

Voyez-vous, ça me consterne.

Je veux dire, ce n'est pourtant pas très compliqué. Premium est probablement basé sur la racine du mot "premier", ou en tout cas il ressemble à quelques chose. Alors que prenium, eh bien ça ne ressemble à rien. Mais vraiment, à rien du tout. Il n'y a pas la moindre racine commune avec quoi que ce soit, pas le moindre mot avec lequel on pourrait le confondre.

Et pourtant.

A chaque fois, je me pose la question, sans jamais trouver de réponse. Donc j'en appelle à votre aide, étant donné que manifestement je suis trop con pour saisir d'où provient le malentendu.

Mon hypothèse personnelle -et qui me navre au plus haut point, sachez-le - est que les foutus imbéciles qui usent de ce terme l'ont d'abord prononcé de façon incorrecte avant de l'enregistrer ainsi dans leur mémoire. Exactement comme avec le très fameux "comme même" que nous avons tous eu l'occasion de croiser un jour avant d'être pris d'une soudaine et pressante envie de nous énucléer les deux yeux à coups de cuillère en plastique afin de calmer la douleur qui en émanait subitement.


 

Enfin, comme dirait l'autre, c'est pas ça qui nous ramènera le Maréchal Pétain.

Et sinon je vous ai déjà conseillé de vous éclater la gueule à coup de pelle? Vous devriez, c'est bon pour la circulation.

Mercredi 31 mars 2010 à 5:39

Il est temps de faire le point des diverses évolutions effectuées par nos brillantes civilisations depuis quelques années :

 
 
A une époque, je dessinais ; maintenant je m'inspire de dessinateur de grand talent.
A une époque, je lisais ; maintenant je lis la rubrique des Faits Divers.
A une époque, je consultais le dictionnaire ; maintenant je parcours inlassablement Wikipédia (sur des sujets dont l'utilité reste encore un mystère profond).
A une époque, je jouais parfois aux jeux de société ; maintenant je passe des heures à tuer des gens réels ou non sur des Jeux Vidéos.
A une époque, je répondais "Ah ben c'est pas de bol" ; maintenant je réponds "Pwned" ou "DTC".
A une époque, je regardais la télévision ; maintenant je télécharge un fragment de l'IMDB en torrent sur mon disque dur.
A une époque, je découpais une image dans les magazines avec des ciseaux ; maintenant je passe des heures sous Photoshop.
A une époque, je lisais le journal ; maintenant j'ai plus de deux cent flux RSS.
A une époque, j'avais des amis réels ; maintenant j'ai des contacts Facebook.
A une époque, je sortais voir mes amis ; maintenant j'ai MSN.
A une époque, je faisais mes devoirs ; maintenant je vais chercher de l'aide.
A une époque, je me plaignais de la mauvaise météo lorsque j'étais dessous ; maintenant je me plains de la mauvaise météo sans même sortir de chez moi.
A une époque, j'admirais les jeunes filles dans la rue ; maintenant je me demande si je pourrais pas les arranger avec Photoshop.
A une époque, j'exprimais ma béatitude devant un fait impressionnant ; maintenant je hurle "Fake !" à tout bout de champ.
A une époque, j'achetais des CD ; maintenant je télécharge des discographies entières que de toute façon je n'écouterais pas (c'est juste pour avoir une grosse librairie).
A une époque, j'écoutais ma musique sur ma chaîne ; maintenant j'écoute mes MP3 avec VLC (pour l'élite de la nation, Windows Media Player).
A une époque, je tentais de rencontrer des gens ; maintenant je traîne sur des sites qui me facilitent la tâche.
A une époque, je regardais Vidéo Gag ; maintenant j'arpente une plate-forme dédiée.
A une époque, je recevais une lettre par an de la part d'une personne éloignée ; maintenant je subis chaque jour sa vie navrante via Twitter.
A une époque, j'avais un album photo ; maintenant je tag des gens sur Flickr.
A une époque, je jouais avec mon chat ; maintenant je le personnalise.
A une époque, j'avais des goûts définis ; maintenant je collectionne les groupes sur Facebook.
A une époque, j'avais des avis propres ; maintenant je laisse les autres choisir pour moi.
A une époque, je pouvais travailler quatre heures durant sur un exposé ; maintenant je dois me concentrer fortement pour copier Wikipédia (sans faute) pendant quinze minutes avant d'aller jouer à un jeu en flash.
A une époque, je pensais directement à de l'alcool à quatre-vingt dix degrés lorsqu'on me parlait d'infection ; maintenant je pense à une méthode plus scientifique.
A une époque, je me contentais d'un Playboy en cachette ; maintenant j'ai des sueurs froides lorsque je regarde mon historique YouPorn.
A une époque, j'avais peur des pervers tard le soir ; maintenant je rigole en voyant des bites se balader.
A une époque, j'avais peur de lever la main en classe ; maintenant je lance et alimente des flamewars sur des forums.






A une époque, je dormais la nuit ; maintenant j'écris des articles de merde sur mon blog parce que le monde me déprime.

Jeudi 25 mars 2010 à 15:48

Zdzisław Beksiński (1929-2005) est un peintre, sculpteur et photographe polonais (comme c'est surprenant avec un nom pareil, me direz-vous). Je n'ai découvert son travail qu'aujourd'hui et c'est bien dommage parce qu'il est véritablement intéressant, étant donné qu'il semble avoir produit par moments une sorte de mélange en le travail de Salvador Dali et Otto Dix, ce qui n'est pas rien.

Si vous voulez en savoir plus sur le personnage, wikipedia est là pour ça (en anglais oui, parce que l'article français est atroce).

Pour finir, un sélection pour vos petites mirettes.

http://bizzarrobazar.files.wordpress.com/2009/12/zdzislaw_beksinski_009.jpg
http://item.slide.com/r/1/4/i/sXqzABAU6j_nDFRcnrFTf-tr0hLkkU_v/
http://211.32.32.184/Upload/blt/T0002/image/0490.jpg
http://bizzarrobazar.files.wordpress.com/2009/12/lj_zdzislawbeksinski024.jpg
http://irea.files.wordpress.com/2008/11/zdzislaw-beksinski-1984.jpg
http://bizzarrobazar.files.wordpress.com/2009/12/chapel.jpg
http://www.schizodoxe.com/docs/2009/05/19zdzislaw-beksinski-0509.jpg

Et je vous invite à jeter un oeil sur google images par exemple, il y a vraiment beaucoup de choses à voir.
(je sais que je n'insulte personne dans cet article, mais j'ai le secret espoir de vous refiler quelques cauchemars et c'est déjà pas mal).

Mercredi 24 mars 2010 à 4:12

Edit : erreur 404
Je crois qu'on appelle ça un K.O. technique.

- - - - - - - -

A la base j'étais encore parti pour écrire ailleurs, mais comme cet ailleurs n'est qu'une substitution de bas étage, je me décide à arrêter un peu les conneries et à faire une chose qui aurait du être faite depuis longtemps. Oui, cela fait un foutu bail que je ne suis pas venu pourrir ce morceau mal-famé de l'internet que représente ce blog. On pourrait se dire que c'est tant mieux, que je n'ai plus de rage à déverser, mais il n'en est rien. Le problème est de tout structurer, voyez-vous.

http://lost.cowblog.fr/images/IMGP65798081.jpg(pour ceux qui se demandent : oui c'est de la merde qui recouvre le sol)

J'ai bien failli vous gratifier il y a peu d'un article sur ce connard monumental, mais il m'a suffit de deux commentaires pour que ce résidus d'amibe malformé décide de clore ce dépotoir infâme qui lui servait de blog. Et pourtant il y a beaucoup à dire sur ce triste sire, cet espèce de personnage de pacotille qui ose faire croire au monde qu'il vaut plus que simplement son propre poids en viande rance.

GxP est un piètre spécimen d'être humain. Pour dire les choses clairement : c'est un con. Alors, certes, c'est probablement un échantillon représentatif d'une bonne partie de la masse écrasante d'abrutis qui peuple notre pays, mais ce n'est pas ça qui le rend sympathique pour autant.

Je dois vous avouer quelque chose, à une époque, quand je tombais sur son blog, j'avais l'impression, à lire en diagonale ses articles pompeux et criblés de fautes, que derrière l'analphabète se cachait en fait un garçon intéressant, il semblait engagé politiquement, exprimait des opinions tranchés  et semblait capable de pondre des tartines sur un certain nombre de sujets.

Mais voilà, c'était faux.

Je l'ai rencontré en personne et il s'est révélé n'être qu'un geek sans envergure (pas le type de geek intéressant non, plutôt du genre à déblatérer des conneries approximatives parce qu'il ne connait pas vraiment ce dont il parle, le genre de mec qui se prend pour le roi des hackers parce qu'il a volé le mot de passe de son ex, par exemple) du style antisocial sans réel intérêt, inapte à la vie en communauté, à l'humour entièrement emprunté à des gens plus doués que lui et surtout... surtout à la tête pleine de vide.

Comment décrire le flot de merde continuelle se déversant par la bouche de cette larve ahurie? Comment ne pas avoir envie de se débarrasser d'une telle nuisance à grands coups de pelle-pliante? Je ne sais. Je salue par ailleurs le courage immense qu'il aura fallu à mon meilleur pote pour supporter ce pauvre naze pendant dix jours complets. Ah et vous-ais-je dit qu'il était, pour couronner le tout, totalement malpoli et désobligeant? Voilà, c'est fait.

Ajoutons à ça, que ce charmant déchet, bien conscient d'avoir été perçu de façon quelque peu négative par les personnes l'ayant côtoyé durant son -trop long- séjour, a décidé, chose étonnante, de faire une sorte d'autocritique sur la décharge publique qu'est son blog... Mais qu'elle ne fait, en réalité que le disculper et qu'il ose y affirmer "Le vrai bonheur, c'est soi-même... J'ai trop longtemps gâché mon propre bonheur à faire celui des autres, le plaisir de donner parait-il..." alors que ce lamentable con n'est préoccupé que par une chose : son propre bien-être du début à la fin.

Non, vraiment, je pourrais reprendre chacun de ses articles point par point et les démonter les uns après les autres, mais je crois que c'est trop d'efforts pour ce que ça représente. Je pourrais tourner en dérision toutes ses phrases interminables à la syntaxe digne de celle d'un singe manchot et épileptique sous LSD, mais ce serait un peu simple.

Au lieu de ça je vous invite à lire ne serais-ce qu'un de ses posts maladroits et pédants et à vous marrer un peu. J'en ai fini pour ma part.

Et je sais très bien que cet article est totalement diffamatoire, sauf qu'il est aussi très proche de la réalité.
Et puis ça défoule et ça, ça n'a pas de prix.

Pour tout le reste, il y a un grand revers de pelle pliante dans la gueule.

Jeudi 11 février 2010 à 0:29

Je dédie cet article à quelque chose qui compte beaucoup dans ma vie, qui rythme la plupart de mes journées, qui me donne accès à la connaissance, à la lumière et une partie du monde extérieur. Mon fournisseur d’accès internet.

Jusqu’à il n’y a pas si longtemps, nos relations étaient au beau fixe. C’est vrai, je chérissais mon petit routeur et il me rendait son amour à grands coups de bits véloces, si je puis me permettre l’expression. Mais depuis quelques semaines, je le trouve changé, les choses ne sont plus vraiment comme avant. L’innocence, qui entourait notre relation a disparu, je ne le reconnais plus, parfois.

En effet, et ce, sans la moindre raison, une petite diode orange gâche mon existence. Cette petite lumière intempestive qui s’allume sporadiquement et qui signifie « connexion perdue » s’allume parfois plusieurs heures par jour.




Alors maintenant que j’ai fait une jolie introduction j’aimerais bien clarifier quelques petites choses.

Numéricâble je te hais. J’exècre tes vendeurs merdiques qui ont moins de connaissances technique que moi et sont incapables de me répondre quand je vais leur faire part de mon désespoir dans tes boutiques minables remplies d’écrans plats et de décodeurs TV dont je n’ai rien à foutre. J’abhorre ta boite vocale automatique qui m’appelle a des heures improbables pour me demander si ma dernière visite en boutique s’est bien passé alors que ma situation ne s’est pas améliorée d’un pouce depuis un mois.

J’aimerais démembrer les pitoyables pantins incompétents et mal-aimables dont tu remplis tes succursales, j’aimerais leur faire avaler des mètres de câble coaxial. J’aimerais leur faire comprendre l’incroyable nullité de leurs  interventions et les pendre avec un fil d’alimentation.

J’ai peine à croire qu’on puisse se foutre aussi ouvertement de la gueule de ses clients. J’aimerais comprendre comment un tel tas de connards consanguin et stupide peut avoir un travail payé alors qu’il existe un paquet de chômeurs probablement moins incapables qu’eux. Comment on peut tenter de faire croire à ses clients que les problèmes en question sont liés à des travaux alors qu’ils n’ont lieu qu’en soirée  après 21h et les week-ends. C’est soit de la mauvaise foi, soit de la connerie caractérisée. A ce stade là je pense que la seule solution valable pour traiter la maladie dont souffre probablement le cerveau  atrophié de ces abrutis c’est une injection massive de chlorure de potassium.

J’ai du mal à imaginer que des gens rendus aussi bas sur l’échelle de l’évolution humaine puissent seulement avoir survécu aux premières années de leur vie. Des gens aussi cons sont probablement du même acabit que ceux qui font qu’on dit toujours aux gosses de ne pas foutre leurs doigts dans les prises électriques.  Je ne sais pas si vous avez déjà essayé de mettre vos doigts dans une prise électrique, mais il faut vraiment le vouloir pour le faire étant donné que personne n’a des doigts suffisamment petits pour que cela arrive. Autant dire que ce n’est même pas un manque d’instinct de survie à ce stade mais juste un signe que la nature a fortement envie de se débarrasser d’un spécimen considéré comme nuisible au restant de l’humanité. Autant dire que ce sont des déchets de première catégorie, du genre dont on ne voudrait pas pour fertiliser son jardin de peur de trop s’en approcher par mégarde un jour.

Ne comptez pas sur moi pour pleurer si jamais leur boutique de merde vient à prendre feu spontanément  parce qu’un de ces foutus dégénérés aura fait un court-circuit avec la cafetière entre deux sabotages consciencieux de son propre boulot. Au moins je n’aurais plus la douleur d’avoir à supporter leurs gueules d’ahuris quand je viendrai leur expliquer pour la cinquième fois qu’ils font preuve d’une inutilité rare dans le traitement des problèmes rencontrés par leurs clients.

Je devrais peut-être appeler leur hotline située au Maroc et demander à un des faire-valoir lamentable qui décrochera le téléphone avec un accent à couper au couteau s’il considère qu’il est de l’ordre de l’acceptable que je me fasse justice moi-même en décidant de sacrifier sur la place publique les abrutis payés 10 fois son salaire que je me coltine comme interlocuteurs afin de purifier la ville en particulier, la planète en général et ma conscience dans sa globalité ?

Bref. Allez crever.

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